Paul Pouvreau, Burn

Dans Burn (2008, couleur, sonore, 4 min 15) un incendie volontaire transforme en cendres une “cabane” de cartons. Le temps de la destruction se déroule dans une ambiance de fête champêtre que le tonnerre et les éclairs d’un orage rythment d’une nouvelle dramaturgie. Burn joue de référents qui relèvent du naturel ou du fabriqué, de l’ordinaire ou de l’extra-ordinaire, du document ou du spectacle, de la manipulation ou de l’accident et orchestre l’ambivalence des signes et des images.